À partir des années 90, Yves arrête l'écriture des romans et des nouvelles et raccroche sa guitare au mur. Désormais tourné vers son passé, il se met à archiver ses anciennes chansons, les grave sur CD, relit et parfois retravaille ses anciens textes. C'est ainsi qu'en 2002, il décide de créer les éditions Magis Optis, où seront publiés trois premiers textes : |
Yves Gaillard, L'Arbre de Judée (nouvelles) | Couverture | Texte |
Henri Bourjaillard (Serge Bourjea et Yves Gaillard), Œuvres complètes | Couverture | Texte |
Manouna Orti, Le Montreur d'images | Couverture | Texte |
Pour sa petite-fille, Manuelle, Yves crée la collection « P'tits bouts ».
Le Ballon de Manuelle | Texte |
Le Carnaval de Rémi | Texte |
Il reprend un texte des années 70, La Fête du printemps, le retravaille et le renomme Une rue presque déserte en vue d'un concours de nouvelles. Il le signe sous le pseudonyme Gilles Davray, anagramme de son nom, mais renoncera à le présenter.
Une rue presque déserte | Couverture | Texte |
Il illustre trois nouvelles de L'Arbre de Judée.
L'Heure du fou |
Le Plaid |
Le Vieux Moulin de Sornain |
Le dernier mois, dans la plus profonde dépression, il peint ses trois derniers tableaux :